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jean-yves le gallou - Page 46

  • Feu sur la désinformation... (239)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Canicule. Les médias en ébullition !
      Coup de chaud pour les Français mais aussi pour les journalistes qui ont traité cet épisode caniculaire de manière catastrophiste.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Sale semaine pour Charline Vanhoenacker ! L’animatrice vedette de la radio de service public France Inter s’est faite copieusement allumée par Didier Maïsto, Pascal Praud, Charlotte d’Ornellas et, surtout, par Thierry Ardisson.
    • 3 : Burkini. Maillot intégral, dérive intégriste
      C’est une polémique qui revient de plus en plus à force que les associations islamistes prennent la confiance. Et les médias ont traité complaisamment ce nouvel épisode de la saga du burkini.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      La propagande des médias politiquement corrects n’a pas de limites. Eux qui dénonçaient ceux qui partageaient les photos du massacre islamiste du Bataclan n’hésitent pas à instrumentaliser une nouvelle photo d’enfant mort en tentant de rejoindre les Etats-Unis.
    • 5 : Conseil de l’ordre des journalistes, la polémique
      Le gouvernement Macron souhaite que les journalistes s’organisent pour lutter contre les médias alternatifs. Et menace d’organiser lui-même un conseil de l’ordre médiatique. Inquiétant.

     

                                         

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  • Feu sur la désinformation... (238)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : La propagande morbide de Brut, Konbini et AJ+
      Anti-natalisme, euthanasie… Les nouveaux médias produisant des vidéos virales semblent très portés sur des sujets sociétaux bien particuliers...
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Le CSA fête ses 30 ans avec une vidéo extrêmement gênante et Geoffroy Lejeune évoque le remigration face à Gérard Miller sur LCI.
    • 3 : Xavier Niel et Nice-Matin, salade niçoise sauce Macron
      Xavier Niel pourrait devenir actionnaire majoritaire de Nice-Matin. Une arrivée qui interroge à quelques mois des municipales.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Enorme bobard climatique de l’AFP qui a mal traduit un article de CNN. La quasi-intégralité des médias français ayant suivi bêtement la dépêche évidemment exagérée, cela donne un bobard général qui jette un froid.
    • 5 : Loi Avia contre la « haine » en ligne, la censure en marche
      La loi visant à lutter contre la « cyber-haine » et instituant une censure extraordinaire sur les réseaux sociaux va bientôt être votée par l’Assemblée nationale.

     

                                             

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  • Seize thèses sur la société de propagande...

    Nous reproduisons ci-dessous un point de vue de Jean-Yves Le Gallou, cueilli sur Polémia et consacré à la société de propagande. Ancien haut-fonctionnaire, président de la Fondation Polémia, Jean-Yves Le Gallou a, notamment, publié La tyrannie médiatique (Via Romana, 2013),  Immigration : la catastrophe - Que faire ? (Via Romana, 2016) et Européen d'abord - Essai sur la préférence de civilisation (Via Romana, 2018). 

    Société de propagande.jpg

    Seize thèses sur la société de propagande

    Immigration de masse, « mariage gay », PMA/GPA, écriture inclusive, lutte contre « l’islamophobie », combat contre « l’homophobie » et la « transphobie », réformes sociétales libérales-libertaires et poursuites judiciaires contre les dissidents… Tous ces phénomènes s’ajoutent les unes aux autres dans un cortège sans fin grâce à une propagande incessante. La propagande est En Marche… et la propagande cela marche !

    1- La remise en cause des sociétés traditionnelles

    Depuis 40 ans la société française et les sociétés européennes subissent une quadruple remise en cause :

    • Bouleversement de leur économie par le libre-échange généralisé, aux conséquences économiques et environnementales souvent désastreuses.
    • Renversement de leurs règles sociales et de leurs équilibres territoriaux par l’arrivée d’une immigration massive et de l’islamisation qui l’accompagne.
    • Déconstruction de toutes les formes de transmission, débouchant notamment sur une catastrophe scolaire.
    • Ébranlement de l’image collective par la culpabilisation historique (Seconde guerre mondiale, colonisation, esclavage) et géologique (« dérèglement climatique »).

    2- Les Français perçoivent l’effet désastreux de ces politiques :

    • Montée du chômage et du mal emploi.
    • Explosion de l’insécurité et relégation dans les périphéries.
    • Effondrement du niveau de connaissances des élèves, notamment pour la maîtrise de la langue et des mathématiques.
    • Saccage des paysages et du patrimoine hérité du passé.

    3- Pourtant ces orientations politiques ne sont pas remises en cause

    Chaque année qui passe, elles sont même portées plus loin. La raison en est simple : ces choix idéologiques sont voulues par les oligarchies dominantes – groupes financiers, médiatiques, communautaires – et elles sont imposées par un appareil de propagande d’une puissance sans équivalent à aucune époque de l’histoire.

    4- Une propagande constante

    Au cours d’une seule journée un homme (ou une femme) se trouve exposé à des centaines de messages de propagande, directs ou plus subliminaux.
    Dès qu’il ouvre une radio ou consulte son téléphone, il reçoit des messages d’information orientés survalorisant ce qui va dans le sens du politiquement correct et occultant ce qui pourrait aller dans un sens contraire.

    Mais il encaisse aussi des centaines de messages publicitaires l’incitant à consommer plus et à « bien-penser ». Dès qu’il sort de chez lui, il est exposé aux messages de propagande publicitaire et de communications politique : sur les panneaux d’ « information » des mairies, des églises, des écoles, des entreprises et sur tous les supports publicitaires. Impossible par ailleurs d’échapper aux écrans, ces écrans qui captent le regard par le mouvement des images qu’ils montrent, et qui inoculent leurs messages partout : à la maison, dans la rue et les transports publics, dans les restaurants et les bars, dans les halls d’accueil des entreprises, des administrations, des salles de spectacles et de sport.

    5- L’enfant lui-même est exposé au formatage totalitaire

    Les totalitarismes du XXe siècle s’intéressaient principalement à l’embrigadement de la jeunesse, entendez les adolescents ou les enfants de plus de 10 ans. Le totalitarisme du XXIe siècle va plus loin. L’enfant est éduqué – rééduqué plutôt – dès l’école primaire, la maternelle, voire la crèche. A travers des livres et des exercices visant à nier les différences de sexe et d’origine par exemple.

    6- La propagande est massive

    Elle s’impose par la répétition. Le même message est ainsi appelé à s’imprimer un grand nombre de fois.

    L’orchestration : la même (fausse) évidence présentée comme une vérité émanera de lieux apparemment différents même si la source peut être unique.

    La transfusion : pour améliorer son image, une entreprise ou une association n’hésitera pas à relayer les mantras de la propagande ce qui renforcera leur rayonnement.

    La censure – publique ou privée – protégera la propagande de la confrontation avec le réel.

    7- Une propagande triplement efficace

    La propagande est triplement efficace : par le gavage, par la sidération, par l’intimidation.
    Le conditionnement est quotidien. En certaines circonstances (guerre, attentat, émeutes, crise financière), la pression de propagande est telle qu’elle aboutit à la sidération des cibles (c’est-à-dire des citoyens), incapables de résister et de bouger.
    La propagande a aussi une fonction intimidante : celui qui tente de résister risque d’être balayé, ostracisé, frappé d’interdit scolaire ou professionnel ou de mort civique ou médiatique.

    8- La propagande dispose de moyens financiers considérables

    2 % du produit intérieur brut est consacré à la publicité et aux dépenses de communications. Celles-ci ne sont jamais neutres. Elles sont au service de puissants groupes d’intérêts financiers et idéologiques.

    Les dépenses de publicité et de communication sont d’ailleurs cadrées :

    • par les grandes centrales publicitaires,
    • par les grandes fondations d’entreprise,
    • par les associations politiquement correctes (immigrationnistes, « antiracistes », LGBTQ) subventionnées à tous les étages administratifs : Union européenne, État, régions, départements, intercommunalités, communes, fondations des grandes entreprises.

    9- Des relais considérables

    La propagande dispose de relais considérables dans l’entreprise, la culture, le divertissement, le sport, le monde de l’édition, etc.

    Avec une double amplification : de l’effet de masse et de répétition ; de l’effet de censure et de soumission. Comme si face au politiquement correct, il n’y avait pas d’alternative.

    10- Les entreprises soumises

    Longtemps l’entreprise a été neutre. Chacun de ses collaborateurs était libre de ses pensées. L’objectif d’une firme était de satisfaire des clients pour rémunérer son personnel et dégager des profits. Aujourd’hui, les entreprises – surtout les grandes – se piquent de « charte éthique » et de valeurs : entendez par là, la doxa politiquement correcte !
    De fait, les entreprises (surtout grandes) deviennent des organes de propagande et de soumission au conformisme à travers leurs actions de communication, leur « mécénat », leurs séminaires de « formation » et les pratiques de leurs directions des ressources humaines (RH).

    11- La culture, vecteur de propagande

    La culture est aussi enrégimentée au service du politiquement correct à travers le choix des thèmes des expositions, les présentations des musées, les cartels de présentation des œuvres, les discours des « artistes contemporains » autour de leurs « œuvres », la détermination des pièces de théâtre et des festivals subventionnées, l’élection des films susceptibles d’accéder aux avances sur recettes et aux aides régionales…
    Le monde de l’édition est aussi orienté par le souci de plaire aux médias.

    12- Divertir et subvertir

    Le divertissement a aussi fait l’objet d’un véritable arraisonnement idéologique : ainsi les séries imposent l’idée du « vivre ensemble », quitte à chambouler les rôles comme dans « Plus belle la vie » (France 3) où, à Marseille, de méchants jeunes Européens tabassent de gentils arabes pour leur taxer des clopes.

    Le concours de Miss France est lui doublement biaisé par le jury favorisant les jeunes filles d’origine non européennes et surtout exigeant des concurrentes des professions de foi politiquement correctes.

    Quant à l’Eurovision, de Conchita Wurst à Bilal Hassani, le spectacle est assuré par des femmes à barbe et des êtres hybrides sans considération pour le talent musical. Et Mouv – radio de service public – a assuré le remplacement de la chanson française et du rock par le rap de plus en plus violent

    13- Le sport au service de la propagande

    Promu par Pierre de Coubertin, l’esprit olympique écartait la politique et l’argent des stades et du sport. Nous en sommes bien loin désormais.

    Le football, qui fédère des supporteurs autour d’une équipe, est devenu un instrument de l’immigration et du métissage. La victoire de l’équipe de France, lors de la coupe du monde de 1998, fut présentée comme une réussite « black, blanc, beur ». Un modèle qui s’est exporté. Dans d’autres pays d’Europe et vers le rugby.
    C’est dans le même esprit que le « mondial de football féminin » a été médiatiquement promu en juin 2019 : dans le but, cette fois, de réaliser une double opération de propagande à la fois diversitaire et féministe. Une démarche parfaitement artificielle tant le football féminin est marginal. Alors que d’autres sports où les femmes sont très présentes comme la natation et l’équitation ne sont pas médiatisées.

    De son côté, le cyclisme a fait l’objet de nombreuses campagnes de dénigrement et de ringardisation : logique car il s’agit d’un sport principalement pratiqué par des hommes européens (et quelques sud-américains) pédalant dans des paysages enracinés.

    14- De nouvelles fêtes politiquement correctes

    L’année a longtemps été rythmé par les fêtes catholiques, elles-mêmes calées sur les saisons, et trois grandes fêtes patriotiques : 8 mai, 14 juillet, 11 novembre.

    Désormais, l’islam impose son calendrier (ramadan, rupture du jeûne, Aïd el-Fitr, Aïd al-Kabir).

    Et les journées commémoratives à finalités culpabilisantes ou communautaristes ont été instituées et se sont multipliées : « shoah », Vel d’hiv, esclavage, « marche des fiertés », mois LGBT, journée de la femme, etc.
    Fournissant à chaque fois aux médias, aux institutions officielles, aux services publics (train, métro, avion)… matière à un conditionnement idéologique des populations.

    15- La publicité, instrument de propagande

    Par principe, les messages publicitaires ne peuvent être neutres. Ils ont pour fonction de pousser à l’acte d’achat. Tout en véhiculant un message de propagande politique : le plus souvent contre le réchauffement climatique, présumé d’origine anthropique, et pour la « diversité ». Avec fréquemment la mise en scène de couples ethniquement mixtes sachant que dans l’immense majorité des cas la femme est européenne et l’homme africain ou moyen oriental.

    16- Une propagande efficace

    Toute cette propagande est formidablement efficace. Il est possible de le mesurer de deux manières :

    – L’arrivée de mots nouveaux qui s’imposent dans le débat public comme des armes idéologiques visant à interdire toute opinion contradictoire…
    Dans les années 1970-1980 : « racisme », « xénophobie ».
    Dans les vingt dernières années : « islamophobie », « négrophobie », « homophobie », « transphobie », « négationnisme », « climato-scepticisme », « genré », « racisé », « grossophobie », « féminicide », « écriture inclusive »…

    C’est le triomphe de la novlangue !

    – Le déplacement de la fenêtre d’Overton qui classe les idées selon qu’elles sont jugées : impensables, radicales, acceptables, raisonnables, populaires, politiques. Et la fenêtre se déplace en fonction des campagnes d’opinion.
    Ainsi sur certains sujets – le mariage gay ou la GPA par exemple – on est passé, en moins de trente ans, de l’impensable au politique, sinon à l’obligatoire.

    Tout cela montre le succès d’une véritable ingénierie sociale.

    Une ingénierie sociale qu’un prochain article montrera comment démonter !

    Jean-Yves Le Gallou (Polémia, 15 juin 2019)

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  • Feu sur la désinformation... (237)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Foot féminin : l’hystérie médiatique
      Avec la coupe du monde de football féminin, les médias ont décidé de se transformer en organes de propagande féministe.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Daniel Riolo et Jérôme Rothen, tous les deux chroniqueurs sportifs sur RMC, ont fait les frais de cette drôle d’ambiance dans les médias. Ils ont en effet été écartés de l’antenne suite à une blague sur la beauté de la femme accusant Neymar de viol.
    • 3 : Gay Pride à Saint-Denis : LGBT et médias béats
      Avec cette première Gay Pride à Saint-Denis, les médias ont tout fait pour convaincre que le 93 n’était pas un endroit plus dangereux qu’un autre pour les LGBT.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Alors que Le Monde s’inquiète d’un durcissement autoritaire en Pologne, les preuves d’une dérive totalitaire en France s’accumulent… sans que cela n’émeuve particulièrement les médias !
    • 5 : Cagnotte Leetchi : des convocations coup de poing
      Dans le cadre d’une plainte contre Leetchi plus d’une centaine de donateurs à la cagnotte pour le boxeur Dettinger ont été convoqués par la police. Une décision très critiquée.

     

                                          

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  • Feu sur la désinformation... (236)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Chauffeur de bus : quand le meurtrier devient victime
      Après qu’un chauffeur de bus ait volontairement écrasé un automobiliste, le journal Le Parisien a publié un article complaisant faisant de l’accusé une victime.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Indignation sélective de la sphère politico-médiatico-culturelle après le meurtre de Théo en Normandie pour un « mauvais regard » par une bande de « jeunes ». On est loin du tollé provoqué par la matraque de Théo.
    • 3 : Hystérie in the UK : les médias contre Trump
      La venue du président des Etats-Unis au Royaume-Uni a provoqué une véritable hystérie en France. Les médias ont multiplié les bobards.
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Youtube a décidé de lancer une grande offensive contre les vidéos incitant à la discrimination. Une course en avant vers le totalitarisme qui inquiète.
    • 5 : Marion et Zemmour à l’offensive sur LCI
      Marion Maréchal et Eric Zemmour étaient récemment invités sur LCI pour s’exprimer. Deux prestations résolument politiques.

     

                                           

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  • Feu sur la désinformation... (236)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours de Nicolas Faure.

    Au sommaire :

    • 1 : Défaite électorale, victoire médiatique
      Macron avait fait des élections européennes un référendum sur sa personne. Et malgré la défaite face au RN, il s’accroche… avec le soutien des médias !
    • 2 : Le Zapping d’I-Média 
      Charlotte d’Ornellas se fait insulter sur une radio du service public consacrée aux musiques urbaines. Pendant ce temps, Patrick Cohen a – comme à son habitude – tenté de déstabiliser Jordan Bardella, sans succès.
    • 3: Attentat à Lyon : les médias voient flou !
      Sur un sujet complexe et douloureux, les médias ont été plus mesurés que d’habitude. Enfin presque !
    • 4 : Les tweets de la semaine
      Un clandestin algérien islamiste radical a commis un attentat en plein Lyon. Entre photo floue et arrestation tardive, des éléments interrogent !
    • 5 : Européennes. Vague verte ou identitaire ?
      Les médias français ont finalement peu parlé des résultats internationaux de ces élections européennes. Sauf pour vanter une vague verte largement exagérée.

     

                                        

     

     

     

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